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Question 5
Aujourd’hui, les enseignants généralistes (les instituteurs et institutrices) sont formés en 3 ans dans une haute école, consécutivement à l’obtention d’une maturité.
Tant au départ qu’à l’arrivée, leur salaire est le plus bas de Suisse. De plus, leur classification n’a pas été revue depuis 35 ans.
Dès lors, quel devrait être leur salaire de départ ? Et après 10 ans d’activité ? Et au sommet de leur classe ?
La classification salariale des enseignants dépend dans notre canton non seulement de leur fonction, mais également de leur titre. Il est donc délicat de déterminer de manière générale les « perdants » et les « gagnants ». Ceci dit, un effort pourrait être fait en matière salariale, sur la base de la moyenne nationale des salaires des enseignants du primaire.
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La question salariale au sein de la fonction publique, quel que soit le domaine d’activité, est en pleine mutation. Des négociations vont commencer. Dans ce cadre, il ne fait guère de doute que les enseignants généralistes se verront augmenter. Reste qu’il faut attendre le résultat des négociation.
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Une partie de la communauté enseignante traverse une crise de reconnaissance. En effet, les attentes des parents d’une part et de l’économie d’autre part exercent une pression considérable sur les enseignants, quel que soit le degré concerné. Il m’apparaît important que les autorités politiques se préoccupent de les soutenir pour leur permettre d’exercer leur métier avec sérénité.
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Je ne suis pas opposé à une réévaluation du salaire des enseignants, mais à une condition : qu’il existe une évaluation systématique de leur travail.
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Anne-Catherine
LYONTout d’abord, il faut relever qu’avec une collocation en classes 15 à 20 (58'000 à 95'000.-, 13ème compris), les maîtres généralistes vaudois sont les plus mal payés de Suisse et souligner que cette situation est inacceptable et ne peut plus durer.
Dans le cadre de DECFO, qui doit entrer en vigueur dès 2008, ces salaires devraient être substantiellement augmentés. De mon point de vue, la collocation des enseignant-e-s généralistes devrait s’approcher de celle actuelle des maîtres semi-généralistes.
Outre DECFO, l’organisation de la formation des enseignant-e-s selon le système de Bologne devrait offrir des perspectives de développement professionnel intéressant ; elle devrait également permettre d’atténuer les disparités existant dans le corps enseignant.
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Pierre-Yves
MAILLARDJe suis pour une revalorisation nette de leur salaire dans le cadre de l’opération DECFO, qui doit impérativement entrer en vigueur en 2008.
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François
MARTHALERUne revalorisation de la profession est certainement nécessaire et justifiée.
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Philippe
MARTINETLa revalorisation du généraliste est indispensable et je trouve regrettable que la SPV donne à penser qu'elle exige le master pour légitimer cette revalorisation ! La fourchette des classes 19 - 23 pour les détenteurs d'un brevet bac + 3, avec possibilité d'obtenir 2 classes supplémentaires avec le master, me paraîtrait correcte, avec allocation aux directions d'établissement d'un budget complémentaire pour honorer des mandats particuliers (chef-fe de file) si ce n'est pas déjà le cas en temps.
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Jean-Claude
MERMOUDCette problématique ressort de la démarche DECFO en cours ; ces généralistes devront être revalorisés.
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Mario-Charles
PERTUSIOCe candidat n'a pas répondu à notre questionnaire.
Josef
ZISYADISEnseignants-es généralistes à former en filière universitaire avec un niveau master. 25 périodes et classification en 24-28 pour tous-tes les enseignants-es jusqu’en 9ème année.
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